Le père de Clayton Keller s’explique concernant l’annonce du départ de son fils
Dans l’ère numérique, ce n’est pas long qu’un commentaire, une photo ou un tweet puisse se retrouver partout. Le père de Clayton Keller a goûté à cette réalité récemment. Un simple tweet sous une publication des Coyotes et tous les sites partageaient ce «scandale».
Pour mettre en contexte les gens qui n’auraient peut-être pas vu passer cette mini saga, voici un bref résumé. Les Coyotes de l’Arizona, via leur compte Twitter, ont annoncé que le vote pour la construction d’un aréna à Tempe n’avait pas passé. En commentaire, le père de Clayton Keller écrivait que son fils n’allait plus jouer un seul match avec les Coyotes et que de nombreux joueurs songeaient à faire de même également. Ce commentaire fut rapidement effacé.
Rencontre par Craig Morgan, journaliste couvrant les Coyotes, Bryan Keller s’est expliqué. On peut déduire que le principal intéressé fut rencontré par la direction après un tel tweet incendiaire.
«Mon Twitter a été piraté et les messages envoyés furent ceux des pirates. Je veux être clair comme quoi je n’ai jamais autorisé ces messages et ils ne reflètent aucunement mon opinion ni ma vision personnelle des choses. Mon compte est maintenant sécuritaire. Je veux m’excuser pour toute la confusion que cela a causée,» expliquait-il auprès de Craig Morgan.
Ça ne va pas bien dans les réseaux sociaux
Il fallait s’y attendre à une telle réponse. Est-ce qu’on peut croire en cette justification ? C’est aux gens de faire leur propre opinion. Chose certaine, on peut s’attendre à voir Clayton Keller jouer au Mullet Arena l’an prochain. Je doute qu’on ne l’échange et je ne crois pas non plus, si c’était réellement les propos de son père, qu’il fasse la grève.
D’ailleurs, ça ne va réellement pas bien dans le monde des réseaux sociaux en Arizona. En effet, les Coyotes ont publié un sondage pour savoir quelle serait la prochaine destination de l’équipe. Une publication et un compte Twitter qui sont rapidement devenus la risée dans la Twittosphère. Qui plus est, on a pu constater qu’une heure plus tard, l’organisation se cherchait un gestionnaire des réseaux sociaux.
Quand ça va bien…
Commentaires