Pierre-Luc Dubois et Patrik Laine ne demanderont pas l’arbitrage salarial
La date limite pour qu’un joueur puisse demander l’arbitrage salarial est ce soir 17h, dans la Ligue nationale de hockey. D’ici là, quelques noms commencent à sortir sur quels joueurs pourraient possiblement avoir recours à l’arbitrage et quels joueurs n’ont pas rempli leur demande.
Pierre-Luc Dubois et Patrik Laine sont les deux plus gros noms à ne pas avoir demandé l’arbitrage, jusqu’à présent. Plusieurs raisons peuvent mener à cette décision, par exemple si le joueur veut accepter son offre qualificative d’ici le 22 juillet, s’il ne veut pas lever le nez sur celle-ci, s’il ne croit pas que la décision de l’arbitre sera à son avantage, ou bien s’il veut laisser toutes ses portes ouvertes quant à une éventuelle offre hostile.
Dans le cas de Laine, il avait accepté son offre qualificative l’année dernière. L’objectif des Blue Jackets est certainement de le signer à long terme, puisque Laine pourrait devenir libre comme l’air et maître de sa propre destinée à l’été 2023.
Rappelons que si un joueur ne s’entend pas avec son équipe avant que les deux clans aillent en arbitrage, l’équipe est dans l’obligation d’octroyer le contrat suggéré par l’arbitre. C’est d’ailleurs pour cette raison que le Canadien de Montréal n’a pas qualifié Rem Pitlick. L’organisation savait que Pitlick y avait droit et qu’après une saison de 37 points en 66 matchs, il aurait signé un très bon contrat. Une entente avantageuse pour le camp Pitlick, mais moins pour le Canadien.
Parmi les joueurs qui ont demandé l’arbitrage salarial, il y a plusieurs noms intéressants tels qu’Andrew Mangiapane, Jesse Puljujarvi, Lawson Crouse et plus encore.
En plus de Dubois et Laine, il sera intéressant de surveiller les dossiers de Jesper Bratt et de Matthew Tkachuk d’ici 17h. Vont-ils remplir leur demande? La réponse dans quelques heures seulement. Les audiences auront lieu du 27 juillet au 11 août pour les joueurs qui ne seront pas en mesure de s’entendre avec leur équipe dans les prochains jours.
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