Andrei Kostitsyn poursuivra-t-il sa carrière dans la LNH ou en KHL?!?

L\’ancien porte-couleur des Prédateurs de Nashville et des Canadiens de Montréal, Andrei Kostitsyn, est toujours sans contrat en vue de la saison 2012-2013. Il est fort à parier que la réputation qu\’il s\’est taillée durant les dernières séries éliminatoires n\’a certainement pas contribué à aider le hockeyeur à conclure une nouvelle entente avec une formation professionnelle. La saison dernière, le vétéran de 27 ans a disputé 71 parties où il a amassé un total de 36 points, dont 16 buts. Ces chiffres ne représentent pas des statistiques très mauvaises pour l\’ailier gauche versus son salaire de 3,25$ M qu\’il a touché la saison dernière. Cependant, comme mentionnée plus haut, son attitude hors glace en plus de sa réputation de joueur de séquence retarde probablement sa signature avec une formation du circuit. Pourtant, plusieurs formations sont à la recherche d\’un attaquant pouvant évoluer sur les deux premières unités offensives. Les Penguins de Pittsburgh, Devils du New Jersey, Blue Jackets de Columbus, Ducks d\’Anaheim, Sabres de Buffalo et bien d\’autre. Il en demeure que le Biélorusse pourrait s\’avérer une aubaine pour la formation qui souhaiterait en faire son acquisition. Selon les dernières rumeurs, les Sabres de Buffalo auraient offert un contrat de 4 ans évalué à 30 $ M pour les services de Shane Doan. Bien que l\’avant ait selon plusieurs un leadership hors pair, il en demeure qu\’Andrei Kostitsyn pourrait très bien accepter un contrat avoisinant les 3 $ M annuellement et pourrait obtenir une production semblable à Doan pour la moitié du prix.

D\’un autre côté, les possibilités de voir Kostitsyn évoluer dans la KHL sont bien réelles avec ou sans lockout. Les rumeurs planent déjà depuis plusieurs saisons à l\’effet que l\’attaquant ait été approché par plusieurs formations de cette même ligue.

Bref, avec la menace d\’un lockout en vue, il sera difficile pour le clan Kostitsyn de se dénicher un contrat pour la prochaine campagne puisque les équipes n\’ont pas le même sentiment d\’urgence qu\’elles avaient le premier juillet dernier.