Canadiens | Des nouvelles de Logan Mailloux

Les nouvelles concernant le premier choix des Canadiens de Montréal à l’encan 2021 se font rares. Avec raisons, le jeune homme s’est fait oublier depuis sa sélection controversée au repêchage 2021. Par contre, on ne peut faire semblant qu’il n’existe pas, car éventuellement, il obtiendra la permission de revenir sur la patinoire. Voici quelques nouvelles le concernant.

Le jeune défenseur est toujours sous l’effet d’une suspension par la OHL. Selon la décision rendue par la ligue, Mailloux peut penser à réintégrer les Knights de London dès le 1er janvier 2022. Par contre, certaines conditions doivent être remplies.

«Rob Ramage et l’agent de Mailloux n’ont pas voulu s’avancer sur les exigences requises pour un retour au jeu en OHL. Par contre, les deux parties m’ont assuré que le joueur a tout fait ce qui lui était demandé. Ils sont optimistes qu’au 1er janvier, Logan Mailloux puisse rejouer au hockey.»

– Eric Engels dans un récent texte sur Sportsnet.

Il faut donc s’y préparer, car Logan Mailloux jouera probablement chez les Knights dès la reprises des activités en OHL. L’équipe du TSLH Espoirs surveillera son rendement hockey de près pour vous informer adéquatement.

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Travailler sur soi

Ramage et l’agent de Mailloux confirme que le joueur a non seulement consulté, mais il a aussi complété ses études en plus d’obtenir des leçons sur le respect.

Rob Ramage s’est montré rassuré en expliquant que Logan Mailloux avait suivi toutes les étapes du processus de réhabilitation avec une attitude exemplaire. Il en a également profité pour vanter le travail des dirigeants des Knights de London. L’organisation a appuyé le joueur et a coopéré avec les Canadiens pour encadrer Mailloux.

Au moment d’écrire ces lignes, Mailloux n’a toujours pas le droit d’aller à l’école avec ses camarades. Il se contente de faire ses cours en ligne. Cela fait partie de son processus.

Rob Ramage, directeur du développement des joueurs, m’a semblé assez optimiste dans le dossier Mailloux à la lecture du texte d’Eric Engels.