À pareille date l\’an dernier, Erik Johnson s\’entendait à long terme sur un contrat lucratif avec l\’Avalanche

L\’an dernier, Erik Johnson signait son nom au bas d\’un contrat de 7 ans, rapportant un total de 42 M$. Le défenseur, accompagné de Jay McClement, avait été acquis des Blues de St-Louis, en retour de Chris Stewart et de Kevin Shattenkirk.

Au niveau de cet échange, Shattenkirk a connu de meilleures saisons au niveau offensif, mais Johnson s\’est tout de même révélé être un pilier de la défensive des Avs. Toutefois, Shattenkirk touche un salaire de 4,25 M$ par saison, alors qu\’on parle de 6 M$ pour Johnson. Les Blues semblent être sortis gagnants de cette transaction, mais le prix pour conserver Johnson à l\’époque était juste. L\’an dernier, l\’arrière de l\’Avalanche a connu une bonne saison, même si son différentiel de -19 pourrait laisser présager le contraire. Dans une équipe qui a loupé les séries et qui n\’a pas connu une saison à la hauteur des attentes, il est évident que c\’est la première statistique qui écope. Avec plus de 23 minutes de temps de jeu en moyenne par partie, le défenseur rend de grands services à l\’équipe, mais ses efforts ne furent pas suffisants pour amener son club en série.

Un mentor avec Beauchemin

Sur la première paire de défenseurs, Erik Johnson et François Beauchemin seront deux mentors pour les jeunes défenseurs tels que Nikita Zadorov, Éric Gélinas et même Tyson Barrie. Toutefois, les deux vétérans devront jouer de façon constante afin de ne pas se faire prendre leur temps de jeu par les plus jeunes. Somme toute, la signature de Johnson pour 7 ans demeure un bon geste de la direction, puisque la stabilité d\’un vétéran et d\’un défenseur efficace dans une équipe jeune est la clé du succès d\’une organisation. Et vous, trouvez-vous que cette signature en vaut toujours la chandelle aujourd\’hui ?

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