Bonne nouvelle pour les partisans des Prédateurs de Nashville

... pis une chance pour les gérants que «ça ne vient pas automatiquement» avec les gros contrats de plusieurs saisons et plusieurs millions de dollars, parce que y'en a qui auraient «rushé» en maudit, pour échanger leurs joueurs: - Les Penguins qui viennent d'échanger Jordan Staal. - Regardez comment les Blue Jackets en ont arraché, à cause de la clause de non-échange de Rick Nash. - Les Stars qui viennent d'échanger Mike Ribeiro. - Les Blackhawks qui ont échangé Brian Campbell, l'année dernière. - Les Blue Jackets qui ont échangé Jeff Carter, à la date limite des transactions. - Les Canadiens qui ont échangé Michael Cammalleri, durant la dernière saison. - Regardez comment les Islanders en arrachent, avec la clause de non-échange de Lubomir Visnovsky. - Les Flyers qui ont échangé Michael Richards, l'année dernière. - Les Penguins qui viennent d'échanger Zbynek Michalek. - Les Canadiens qui ont échangé Jaroslav Halak, en 2010. - Regardez comment les Canucks en arrachent, avec la clause de non-échange de Roberto Luongo. Comme quoi ces foutues clauses de non-échange ne sont tellement pas une bonne affaire! Honnêtement, dans la LNH, les saisons changent tellement et les performances des joueurs varient tellement d'une année à l'autre, que personne ne mérite une clause de non-échange. Si Gretzky a été échangé, tout le monde peut l'être. Joue à la hauteur des attentes et répond aux exigences de l'organisation à ton endroit et tu ne seras pas échangé, c'est aussi simple que ça. Comme dans la vie de tous les jours: Vous n'avez pas besoin d'une «assurance» que vous conserverez votre emploi et même si vous en aviez besoin, personne ne pourrait vous fournir une telle assurance. Vous conservez votre emploi si vous répondez aux critères et vous le perdez si vous ne répondez plus aux exigences, c'est tout. Ce que vous avez, c'est une assurance pour couvrir la période où vous serez sans emploi (un «package» ou quelque chose du genre, si vous avez un bon emploi), ce que les hockeyeurs professionnels ont eux aussi, puisqu'ils sont payés, même s'ils sont «congédiés» de leur équipe (donc, rachetés).