La première unité offensive des Canucks de Vancouver, l’une des pires du circuit Bettman?
À l’image de ses coéquipiers lors des neuf dernières rencontres des siens à l’étranger, l’attaquant des Canucks de Vancouver, Loui Eriksson est littéralement en panne sèche. Durant cette période, le hockeyeur n’a pas obtenu un seul point. Le vétéran de 31 ans qui a paraphé un lucratif contrat avec la concession canadienne en début de saison est loin de répondre aux attentes depuis cet instant.
En 53 parties cette saison, l’ancien des Bruins de Boston a marqué seulement 10 filets. Dans la colonne des points, le hockeyeur en cumule 21. Pourtant lors de la campagne 2015-2016, Eriksson avait terminé la campagne avec une production offensive de 63 points et de 30 buts. C’est d’ailleurs les prestations de la saison dernière qui lui ont valu une hausse salariale considérable lors de la signature de sa nouvelle entente.
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Cette entente de 36 millions de dollars pourrait causer bien des maux de tête à l’organisation canadienne au cours des prochaines années si le principal intéressé ne retrouve pas sa touche offensive. Son trio composé de Daniel Sedin et d’Henrik Sedin cumule un total de 81 points en 159 parties. Les salaires des trois hockeyeurs totalisent un montant occupant 20 millions de dollars sur la masse salariale des Canucks de Vancouver cette saison. Avec ce constat, il n’est pas surprenant de voir cette organisation trôner au 28e rang du circuit avec une fiche de 23-24-6 en 53 parties.
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