Nick Holden, qui se débrouille bien avec les Rangers actuellement, aurait-il été la source de conflit entre Patrick Roy et Joe Sakic?
Cet été, dans une transaction pour le moins douteuse, l\’Avalanche envoyait Nick Holden à New York en retour d\’un choix de quatrième ronde. Après avoir connu une bonne saison l\’an dernier, cette transaction laissait bien des gens perplexes. Avec un différentiel de 0 en 82 rencontres dans un club qui premièrement, on conclu la campagne au huitième rang pour la pire défensive et où la majorité du monde était dans le négatif, l\’Avalanche aurait pu espérer recevoir plus en retour de ce défenseur polyvalent. Une fois cette transaction effectuée, l\’entraîneur-chef a reçu un drôle d\’appel, comme il l\’explique à Brett Cyrgalis du New York Post:
«En revenant de Buffalo, j\’ai reçu un appel de Patrick Roy qui m\’a dit d\’entrer de jeu: \’ Tu as maintenant un de mes meilleurs défenseurs.\’ Je ne savais pas pourquoi il m\’appelait pour cela, mais je me suis informé sur le type de joueur qu\’Holden est.»
Comme on le sait, Patrick Roy a décidé de quitter la barre de l\’Avalanche en raison de conflit entre deux différentes visions dans l\’organisation. On sait qu\’il fait référence à Joe Sakic. Toutefois, est-ce qu\’on peut croire que cet appel à un entraîneur rival a pu venir aux oreilles de Sakic ? Possiblement que oui. Sakic n\’a pas dû apprécier que Roy exprime son désaccord via un coup de téléphone comme tel.
Les Rangers sortent gagnant dans cette transaction
Malgré que l\’appel de Roy semble découler d\’une quelconque frustration, on ne peut dire qu\’il avait tort dans le cas de son ancien défenseur. En effet, Nick Holden joue très bien depuis son arrivée à New York. Comme Roy l\’avait décrit à Vigneault, «Holden peut jouer du quatrième au sixième défenseur. Il est très efficace dans toutes les facettes du jeu tout en restant \’low-profil\’.» Le défenseur n\’est pas exactement le remplaçant recherché après la perte de Keith Yandle, mais il s\’avère très fiable en compagnie de Ryan McDonagh.
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