Tyson Barrie, une cible de choix pour plusieurs formations?
Le défenseur de l\’Avalanche du Colorado, Tyson Barrie, sera agent libre avec restriction le premier juillet prochain. Après une campagne 2015-2016 de 49 points en 78 rencontres, l\’arrière de 24 ans sera en mesure de demander une hausse salariale importante. Malgré un différentiel négatif de 16 en autant de parties, les chances de voir Barrie empocher un salaire annuel moyen avoisinant les cinq millions de dollars lors de la signature de sa prochaine entente sont bien réelles. Est-ce que le directeur général de l\’Avalanche du Colorado, Joe Sakic, sera ouvert à lui consentir autant d\’argent?
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Récemment, le chroniqueur Elliotte Friedman a affirmé que la haute direction de l\’Avalanche et l\’agent de Tyson Barrie ne sont pas du tout sur la même longueur d\’onde dans le processus de négociations. C\’est pourquoi le jeune défenseur pourrait changer de camp au cours de l\’été 2016.
Une formation comme les Coyotes de l\’Arizona pourrait décidément s\’intéresser à ses services. Le nouveau directeur général, John Chayka, a déjà confié publiquement qu\’il aimerait apporter de l\’aide à Oliver Ekman-Larsson. L\’acquisition de Barrie aurait un impact immédiat sur le jeu de puissance des Coyotes tout en enlevant de la pression à Ekman-Larsson en zone défensive.
Peter Chiarelli pourrait également se montrer preneur dans ce dossier. Barrie pourrait devenir le quart arrière des Oilers d\’Edmonton sur le jeu de puissance. Depuis déjà plusieurs semaines, on parle d\’une ou deux acquisitions en brigade défensive chez la concession canadienne, Barrie pourrait assurément être l\’une d\’entre elles.
En terminant, les Bruins de Boston ont tenté d\’acquérir Kevin Shattenkirk le 29 février dernier. Pourquoi ne pas plutôt s\’intéresser à un défenseur plus jeune offrant un style similaire à Shattenkirk? Tyson Barrie représenterait une option à long terme pour la concession américaine. Avec un Chara vieillissant, un duo Barrie et Krug sur le jeu de puissance ferait forcément des ravages. Un pensez-y-bien pour Don Sweeney.
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