Une chance que le ridicule ne tue pas
Hier soir, le conseil de la ville de Glendale a approuvé la vente des Coyotes de Phoenix et, par le fait même, accepte de verser 320 millions sur 20 ans.
Comme le dit si bien mon titre: Une chance que le ridicule ne tue pas, car il y a longtemps que plusieurs dirigeants de Glendale seraient mort. En plus de notre très cher dirigeant, Gary Bettman, qui s\’entête à garder les Coyotes à Phoenis pour une obscure raison, puisqu\’elle ne sera jamais le fleuron du hockey…
Nous savons que la ville et la NHL a investi beaucoup pour rentabiliser le sport à Phoenix, mais bien comme le dit le Dicton: On ne vend pas la peau de l\’ours avant de l\’avoir tué. Ma question est: Quand l\’ours (ou le coyote dans ce cas) aura utilisé sa 9iem vie ?
Il me semble qu\’une faillite en 2006, la mort entière de se sport dans la ville de Glendale, un lock-out qui sera plus que douloureux pour les Coyotes, un aréna qui détient le record NHL pour le moins d\’assistance, 6000 il me semble, reprenez-moi si je me trompe. Ce sont des signes que ce sport est fini à Glendale, mieux vaut ne pas perdre la face plus que maintenant et déménager l\’équipe, avant de subir, encore, une faillite et là ne plus avoir le choix.
Je suis un fier partisan du Canadien, mais j\’aurais aimer voir le conseil refuser et peut-être voir une chance de donner aux Québécois la chance de ravoir sur son territoire deux équipes LNH, voir la rivalité Montréal-Québec, il me semble qu\’en une année à son actif, les Nordiques feraient plus d\’argent et aurait plus de partisans à leurs matchs de hockey que les Coyotes en 16 ans (année de déménagement à Phoenix).
Ce que je me dis, c\’est que Bettman doit rire très fort, dans son luxueux bureau, lui qui cause des Lock-Out et qui, pour toujours, haïra les Frogs, que constituent les Québécois, les vrais partisans du Hockey en ne leur donnant pas une franchise NHL, qu\’elle soit d\’expansion ou d\’un déménagement.
D\’un partisan qui trouve que la NHL prend des décisions très décevantes pour ses partisans ces temps-çi.
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