Une réalité bien différente d’ici avec les médias à St-Louis | Mesure punitive de la part de Mike Yeo?
Hier, les Blues se sont fait battre par les pauvres Coyotes au compte de 5-2. Un mauvais match dans le corps pour la troupe de Mike Yeo, qui a dû assumer sa contre-performance devant la horde de journalistes après le match. En effet, Jeremy Rutherford, journaliste couvrant les activités des Blues, rapportait hier la drôle de façon de faire de l’organisation auprès des journalistes après les rencontres. Voici la traduction libre de son Tweet:
«Habituellement après les matchs, et surtout après les défaites, le vestiaire des Blues est vide. L’équipe demande aux médias quels sont les 2-3 joueurs qu’ils veulent interviewer et le reste de l’équipe se dirige vers la salle arrière. Ce soir (samedi), tout le monde était assis à leur place dans le vestiaire. Quelqu’un leur a assurément dit de demeurer là. Yeo ?»
C’est donc dire qu’à St-Louis, seuls deux ou trois joueurs rencontrent les médias pendant que les autres se retirent en arrière. Avec le match que les Blues ont tiré samedi soir, il ne fait nul doute que Mike Yeo a décidé d’utiliser les médias comme mesure punitive. En faisant cela, les joueurs doivent affronter la honte devant les médias présents, sans devoir se défiler. Une stratégie qui peut marcher, à l’occasion, mais une façon de faire qui serait largement critiquée au sein de d’autres formations du circuit, notamment à Montréal.
Usually after games, especially losses, the Blues locker room is empty. Team asks media which 2-3 players they want and pulls them from back room. Tonight, every player was sitting at his stall. Someone (Yeo?) told them to do this.
— Jeremy Rutherford (@jprutherford) 21 janvier 2018
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