Radulov excelle en KHL

Le seul endroit en Amérique du Nord, où il pourrait connaître du succès, c'est à Pittsburgh. Premièrement, parce que l'équipe là-bas a justement besoin d'un bon ailier, qui peut passer plus de 20 minutes par match, sur la patinoire (ce que Radulov «exige»). Deuxièmement, parce que c'est à peu près le seul endroit où il ne pourrait pas se péter les bretelles et ENFIN devenir un joueur d'équipe. S'il lui vient l'envi de se prendre pour un autre, chez les Penguins, il aura les deux meilleurs hockeyeurs au monde, qui le mettent facilement dans leur p'tite poche arrière, niveau talent, pour le ramener à l'ordre. Chose certaine: Si Semin s'est trouvé un contrat de 7,5 millions$ pour une saison, tôt ou tard, une équipe en manque d'offensive et probablement même affectée par les blessures, fera appel aux services de Radulov. Ce dernier est réellement un «talent gaspillé» en ce moment. Si jamais un entraîneur parvenait à lui faire comprendre le bon sens (exactement comme Roy a fait, lors des années de Radulov, à Québec), on parlera de lui comme un attaquant capable de faire 80 points par année dès maintenant, dans la LNH, qui est disponible sur le marché des joueurs autonomes. Je demeure convaincu qu'un alignement comme celui-ci, peut faire des ravages: Chris Kunitz - Sidney Crosby - Beau Bennett James Neal - Evgeni Malkin - Alexander Radulov Pascal Dupuis - Brandon Sutter - Tyler Kennedy Matt Cooke - Dustin Jeffrey - Craig Adams (Tanner Glass) Brooks Orpik - Kristopher Letang Paul Martin - Matt Niskanen Simon Després - Deryk Engelland (Ben Lovejoy) Marc-André Fleury Tomas Vokoun