Décompte | 10 attaquants offensifs utilisés également sur le désavantage numérique
Dans la LNH, on s’intéresse souvent aux performances des unités spéciales au niveau de leur efficacité. Le rendement offensif des joueurs du circuit Bettman est une autre chose observée avec une attention particulière par les amateurs de hockey. Dans ce billet, nous nous concentrerons sur le désavantage numérique. Souvent, lorsque l’on aborde ce sujet, on pense tout de suite aux attaquants à caractère défensif qui se démarque sous cette facette du jeu. Or, on oublie souvent que des joueurs réputés pour leur flair offensif s’illustre également en désavantage d’un homme. Voici donc un décompte des 10 joueurs offensifs affichant le plus haut total de minutes jouées en désavantage numérique.
Joueur | Matchs | Points | Min/match en PK |
---|---|---|---|
1. Sean Couturier | 31 | 25 | 2:35 |
2. Tom Wilson | 14 | 16 | 2:35 |
3. Elias Lindholm | 36 | 38 | 2:16 |
4. Ryan O’Reilly | 33 | 32 | 2:14 |
5. Aleksander Barkov | 33 | 33 | 2:12 |
6. Kevin Hayes | 33 | 27 | 2:07 |
7. Anze Kopitar | 34 | 22 | 2:05 |
8. Frans Nielsen | 32 | 21 | 2:00 |
9. Patrice Bergeron | 19 | 26 | 1:59 |
10. Ryan Nugent-Hopkins | 35 | 31 | 1:51 |
Note :
– En guise de balise, le joueur le plus utilisé en désavantage numérique affiche un temps de jeu par partie de 3:51 (Anton Stralman). Chez les attaquants, ce chiffre descend à 3:29 (Brandon Sutter)
– Afin de mieux analyser le tout, nous avons pris un échantillon d’attaquants qui affichait au moins 20 points cette saison. Seule exception pour Tom Wilson, qui cumule tout de même plus d’un point par match tout en étant utilisé régulièrement sur le désavantage numérique.
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