Les dix phrases que nous détestons entendre en cette période de transactions
En cette période de rumeurs, de spéculations et de transactions, plusieurs «insiders» ont le don de nous garder alerte. Entre les appels récurrents, les offres en provenance de partout (ou de nulle part), nous sommes tout de même en mesure de voir arriver une transaction à l’aide de certains informateurs dans le milieu. Suffit d’un indicateur précis comme le fait de laisser de côté un Rick Nash ou un Michael Grabner ou de voir Phaneuf se retirer au vestiaire sans être blessé pour constater qu’une transaction est imminente. Toutefois, comme le dirait le réputé analyste Bob McKenzie, «aucune transaction n’est officielle tant qu’elle n’est pas officialisée à la ligue».
Dans la frénésie de cette fameuse période, de nombreux clichés sont utilisés via les médias année après année. L’émission sportive humoristique «Down Goes Brown», présentée sur le réseau Sportsnet, a dressé une liste de 10 phrases qui tapent sur les nerfs des partisans (et des médias à l’occasion). Personnellement, j’ajouterais la fameuse phrase «le téléphone ne dérougit pas» à ce top 10. Et vous, quelles phrases êtes-vous tannés d’entendre de la part des directeurs généraux de la ligue ?
10. «On est ouvert aux négos»
9. «On ne fera pas une transaction dans le simple but de faire une transaction»
8. «Il n’y a qu’une seule équipe qui gagne la Coupe Stanley»
7. «Ça fait plus de sens pour nous d’attendre à l’été pour procéder»
6. N’importe quelle phrase qui comprend le mot «intouchable»
5. «J’ai procédé à une transaction avec David Poile !!! (quelle erreur)»
4. «On veut un joueur, un choix et un espoir»
3. «C’est difficile de faire de grosses transactions de nos jours»
2. «On ne concédera pas nos joueurs gratuitement»
1. «On ne magasine pas, on écoute les offres»
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